L'avis de la Cour populaire suprême sur le procès des litiges relatifs au droit d'auteur concernant les cybercafés a été promulgué en 2010 et est entré en vigueur le 25 novembre 2010.
Il y a cinq articles au total, qui visent à fournir une norme unifiée pour l'application de la loi dans le procès des affaires de contrefaçon dues aux cybercafés fournissant des œuvres cinématographiques.
Les points clés sont les suivants:
1.Si un opérateur de cybercafé, sans autorisation, fournit des œuvres cinématographiques protégées par des tiers via le cybercafé, ce qui enfreint le droit de communication des titulaires de droits via le réseau d'information, etc., le tribunal, selon la demande du demandeur, ordonne au contrefacteur pour mettre fin à l'infraction et indemniser le demandeur pour les pertes.
Si l'exploitant de cybercafé peut prouver que les œuvres cinématographiques concernées sont légalement acquises auprès d'un fournisseur d'œuvres cinématographiques qualifié, et qu'il ne sait ni n'aurait dû savoir que les œuvres cinématographiques impliquées enfreignent le droit de communication des titulaires de droits via un réseau d'information, etc. selon les circonstances particulières au moment de l'acquisition, il ne supportera pas la responsabilité civile d'indemnisation des pertes.